Une longue-vue est utilisé pour l’observation terrestre en situtation de bon éclairage : de paysages et de la nature.
Le téléscope et la lunette astronomique sont utilisés pour l’observation d’objets célestes peu éclairés.
La longue-vue et la lunette astronomique sont des instruments similaires fonctionnant exactement sur le même principe, la longue vue n’étant qu’une lunette astronomique d’assez faible grossissement. Notons également que tandis qu’une la longue-vue s’utilise généralement tenue à la main une lunette astronomique est montée sur un trépied.
Le principe de fonctionnement de la longue-vue et la lunette astronomique (mais aussi des jumelles) est le suivant : la lumière des objets observés traverse un objectif puis un oculaire, montrant une image par RÉFRACTION à travers le verre. L'image est observée à l'endroit.
Notons que les téléscopes pas chers sont en fait souvent des lunettes pourvues d'un coude d'observation avec un miroir, l'image observée est alors inversée gauche/droite sur un axe symétrique vertical ou "effet miroir".
Le principe de fonctionnement du téléscope est différent puisque l’objectif est un miroir renvoyant la lumière des objets observés qui traverse ensuite l’oculaire. Les téléscopes fonctionnent donc par RÉFLECTION.
Le second miroir proche de l’oculaire a pour unique fonction de déplacer l’observateur sur le côté plutôt qu’a l’intérieur du tube, ce qui gênerait l’observation.
Notons que, puisque réfléchie par 2 miroirs, l’image observée dans un téléscope est retourneé haut/bas à 180° ou “à l’envers” (retournement gauche/droite + haut/bas).
Il est très simple de reconnaître et différencier un téléscope d'une lunette astronomique ou d'une longue vue. Dans la grande majorité des cas, voici ce qui caractérise chaque instrument :
Les longues-vue (et les jumelles) étant des instruments destinées de de l'observation terrestre, le sens de l'image est important et ces instruments possèdent des prismes redresseurs pour voir l'image à l'endroit.
Les lunettes astronomiques avec renvoi coudé et les téléscopes avec 2 miroirs renvoient des images inversées avec effet miroir et à l'envers car cela évite l'utilisation de prismes faisant perdre en luminosité, puisqu'il n'y a pas d'endroit ni d'envers dans l'espace !
Si l'on pense tout de suite à téléscope ou une lunette pour observer les objets célestes, notre première observation du ciel a le plus souvent été faite avec des jumelles. Une bonne paire de jumelles classique permet déjà de s'intéresser à la Lune, Vénus, ainsi qu'aux constellations. Les jumelles sont compactes, légères, faciles à utiliser et permettent de balayer le ciel aisément, sans un fort grossissement, pour en avoir une vision globale. En réalité, de nombreuses vues célestes comme les comètes et les amas d'étoiles sont même plus belles avec des jumelles qu'avec un télescope.
La paire de jumelles que vous avez probablement chez vous est donc un bon début, mais sachez qu'il existe des jumelles astronomiques, spécialement destinées à observer les objets célestes
Les caractéristiques des jumelles sont indiquées à l'aide de 2 chiffres : le premier correspond au grossissement, le deuxième au diamètre de l'objectif.
Par exemple, des jumelles 12x42 ont un grossissement de 12 fois et un objectif de 42mm de diamètre.
Plus le grossissement est grand, plus les objets paraîtront rapprochés, mais l'image sera moins stable et le champ de vision sera plus petit.
Plus le diamètre est grand, plus les jumelles pourront collecter de lumière, les images seront donc plus nettes. Cependant les jumelles seront plus encombrantes et plus lourdes.
Les lunettes astronomiques possèdent des caractéristiques plus élevées que les jumelles classiques afin de pouvoir voir des objets plus éloignés la nuit. Pour l'observation astronomique, il est conseillé un grossissements compris entre 7x et 10x et des lentilles de 35 mm de diamètre minimum.
Avant de comparer différents téléscopes, voici quelques questions à se poser qui vous permettront de délimiter votre recherche dans le but de choisir le téléscope qui sera le mieux adapté à vos besoins :
Répondez à ces questions clés, familiarisez-vous avec ce qui existe sur le marché et vous serez sur la bonne voie pour choisir un téléscope qui vous satisfera pendant de nombreuses années.
Ci-dessous, nous vous proposons une sélection de téléscopes comme point de départ de vos recherche, avec des modèles d'un excellent rapport qualité/prix quel que soit leur niveau de prix.
Si vous débutez et souhaitez acheter un premier téléscope pour vous ou votre enfant, il n'est pas vraiment utile de se plonger dans des détails techniques trop compliqués (mais vous le pouvez un peu plus bas sur cette page si vous le voulez !).
Nous irions même jusqu'à dire que si vous êtes-vous un observateur céleste totalement novice, nous vous conseillons de ne pas acheter de téléscope pour l'instant ! En effet, si vous ne connaissez absolument rien à l'astronomie, ce sont des appareils qui peuvent alors être frustrants et vous faire perdre plus de temps qu'autre chose…
Commencez simplement avec une bonne carte du ciel comme celle ci-dessous, afin de vous familiariser avec les constellations, surveiller les météores et les satellites et observer la Voie Lactée simplement à l'oeil nu.
Sachez également que des jumelles sont un excellent "premier téléscope". Elles sont facilement maniables, portables et faciles à utiliser tout en pouvant révéler des détails surprenants sur la Lune et les planètes.
Carte du ciel
Disque rotatif donne l'aspect du ciel étoilé à toute date de l'année et toute heure de la nuit
+ 3 pages de guide d'observation des planètes facilement repérables à l'oeil nu (Saturne, Jupiter, Mars, Vénus)
Néanmoins, lorsque vous sentez qu'il est temps de passer à l'étape de l'achat de son premier téléscope, il est conseillé de débuter avec un téléscope ou une lunette simple et peu onéreuse, pour vous familiariser avec les bases de l'astronomie et ensuite voir si vous avez envie et/ou besoin de voir le ciel de manière plus détaillée. N'oubliez pas que le "meilleur téléscope" est celui qui est adapté à vos besoins et pas forcément le plus compliqué.
N'hésitez pas à vous rapprocher d'un club d'astronomie amateur. Ils ont probablement des événements réguliers d'observation des étoiles, ce qui donne la possibilité d'essayer différents télescopes et demander des conseils à des personnes compétentes et enthousiastes.
Comme mentionné plus haut, en entrée de gamme vous trouverez beaucoup de téléscopes refracteurs fonctionnant sur le principe d'une lunette astronomique avec un oeilleton à miroir coudé. Cela est tout à fait suffisant pour commencer à observer la Lune, la voie lactée et les constellations d'étoiles.
Télescope pour tout-petits
Buki - 9004
Un téléscope binoculaire x15 adapté à la morphologie des très jeunes enfants, pour la nuit ou le jour.
Plus de détailsTéléscope pour enfant
Mijiao F36050M
Un petit téléscope d'initiation avec zoom, ne prenant pas beaucoup de place. Construction en aluminium robuste, trépied inclus.
Plus de détailsTélescope débutant Réfracteur
Topenix F30070M
Téléscope réfracteur, gardant le prix à moins de 100€, à grand diamètre d'objectif (70mm) pour une luminosité remarquable à ce prix. Trois oculaires et deux objectifs fournis pour un grossissement de 15X à 150X.
Plus de détailsTélescope débutant Réflecteur
Zoomion Gravity 150/750 EQ
Télescope réflecteur de type Newton, donc très lumineux. À moins de 200€, c'est un modèle de qualité aux réglages précis, parfait pour s'initier à l'astronomie sans subir les frustrations liées à un matériel médiocre.
Plus de détailsC'est bien beau d'avoir un téléscope… mais maintenant il faut s'en servir ! Alors qu'est-il possible de voir relativement facilement dans le ciel lorsque l'on débute en astronomie ?
Un guide d'astronomie, une carte des étoiles ou des applications pour votre smartphone pourront vous aider à trouver vos prochaines observations. En vous mettant en relation avec club d'astronomie, vous aurez la possibilité d'obtenir des cartes du ciel spécifiques à ce qui peut être observé dans votre région.
Voici, ci-dessous, une carte de la face visible de la Lune que vous pouvez utiliser pour débuter vos observations astronomiques lunaires :
Même avec le meilleur télescope, vous remarquerez que vous pouvez discerner des détails lunaires ou planétaires plus précis certaines nuits que d’autres. Parfois, la netteté de la vue change même d'une seconde à l'autre. À haute puissance, vous verrez que les planètes et les étoiles scintillent et se brouillent la plupart des nuits. La faute en incombe non pas à la portée mais à l’atmosphère turbulente de la Terre, et parfois à des conditions très locales telles que l’air chaud qui monte depuis une allée asphaltée voisine qui a absorbé la chaleur solaire toute la journée.
Les 2 caractéristiques à regarder pour l'achat d'un téléscope de qualité sont :
L'aspect le plus important de tout télescope est son ouverture, c'est à dire le diamètre de son composant optique principal, qui peut être une lentille ou un miroir et souvent appelé "objectif".
Cette caractéristique est généralement inscrite à l'avant du tube ou sur la boîte du téléscope. Le diamètre de l'ouverture (D) sera exprimé soit en millimètres, soit moins en pouces (1 pouce = 25,4 mm). En règle générale, votre télescope devrait avoir une ouverture d’au moins 70 mm (2,8 pouces) - et de préférence plus.
L'ouverture d'une lunette détermine à la fois sa capacité à capter la lumière (degré de luminosité de l'image) et son pouvoir de résolution (degré de netteté de l'image).
Avant de choisir un télescope, il est essentiel de bien comprendre le rôle de l'ouverture pour que vous puissiez voir le ciel nocturne.
En résumé : plus l'ouverture est grande, mieux c'est.
Avec un télescope d'une ouverture de 15cm vous pouvez discerner des cratères sur la Lune aussi petits que 2 kilomètres de diamètre, tandis que ce sera limité à des cratères de 4km de diamètre avec une ouverture de 7,5cm (dans les mêmes conditions et avec le même grossissement).
Si l'on tournait ces 2 instruments (un d'ouverture 150mm et un d'ouverture 75mm) vers une galaxie faiblement lumineuse lors d'une nuit sans Lune, la différence serait encore plus dramatique : en effet, étant donné que la surface d'un miroir de 150mm est 4x plus grance que celle d'un miroir de 75mm, elle recueille 4x plus de lumière, ce qui veut dire que la galaxie paraîtrait 4x plus lumineuse. (Astronomiquement parlant, cela fait 1,5 magnitude de plus.)
Un téléscope possédant une grande ouverture vous permet donc de mieux voir des objets peu lumineux et des détails plus fins qu'un téléscope à petite ouverture.
Cependant, une petite ouverture peut se réveler largement suffisante… si vous effectuez votre observation loin des lumières d'une ville.
Par exemple, depuis un endroit peu éclairé, vous pourrez apercevoir des dizaines de galaxies au-delà de notre propre Voie Lactée à travers une lunette avec une ouverture de 80 mm (3.1 pouces). Mais vous aurez probablement besoin d'un télescope de 150mm ou 200mm (6 ou 8 pouces) pour voir ces mêmes galaxies depuis la banlieue d'une grande ville.
Mais au final, quelle que soit la luminosité de votre ciel, la vue à travers un télescope offrant une grande ouverture est plus nette et plus impressionnante que la vue du même objet à travers un viseur plus petit.
Pour un usage avancé, évitez les télescopes qui sont mis en avant uniquement par leur grossissement, en particulier les nombres invraisemblables, du genre "600x"
Dans la plupart des cas, le grossissement utile maximal d'un télescope est limité par son ouverture, voyons cela plus en détails dans le paragraphe suivant…
Cela peut surprend souvent les novices, mais le grossissement d'un télescope n'est pas ce qui en détermine sa qualité de vision, et ce n'est pas avec un fort grossissement que l'on verra forcément mieux les planètes et galaxies très éloignées. En réalité tout téléscope peut donner une plage de grossissement pratiquement infinie selon l'oculaire qui est utilisé.
Cependant, le grossissement d'un téléscope n'est pas à ignorer totalement !
En effet, l’image créée par le miroir ou l’objectif principal du télescope ne contient qu'une quantité donnée détails, il faut alors trouver le grossissement optimal pour voir ces détails, et cela sans trop disperser la lumière de la cible collectée si difficilement (rendant alors l'objet trop sombre pour l'observer), ni transformer l'objet en un point très lumineux mais flou.
C'est le même principe que l'agrandissement d'une photo, si vous l'agrandissez trop vous verrez simplement le grain de la pellicule ou les pixels du capteur, et un grossissement excessif rendra votre photo complètement floue.
C'est pourquoi les observateurs utilisent généralement de faibles grossissements pour regarder des objets peu lumineux, comme les galaxies, les amas d'étoiles et les nébuleuses, et des grossissements plus élevés pour des objets brillants comme la Lune et les planètes.
Un grossissement important veut dire que vous zoomer sur la cible et donc votre champ de vision se réduit, le téléscope est plus sensible aux tremblements et l'image sera plus floue et plus sombre.
Mais alors, quel grossissement est trop de grossissement ?
Il existe une règle simple pour trouver le grossissement utile : 50 fois l’ouverture du télescope en pouces, ou deux fois son ouverture en millimètres. Cette formule étant applicable si la lunette a une optique parfaite et que la nuit est exceptionnellement stable.
Cela veut dire qu'il faut donc une lunette de 12 pouces (305mm) pour obtenir une image décente à un grossissement de 600x, dans le cas où l'observation se fait durant une nuit réunissant des conditions parfaites.
Cela signifie donc qu’une lunette de haute qualité de 4 pouces (100 mm) ne doit pas dépasser un grossissement de 200x.
Pour mettre cela en perspective, même un petit instrument doté d'une bonne optique pourra vous permettre d'observer les anneaux de Saturne ou les principales ceintures de nuages sur Jupiter, puisqu'elles peuvent être vues à un grossissement de 75. D'un autre côté, si vous voyez un petit télescope de 60 mm portant le label "grossissement 300x", vous saurez que c'est du battage publicitaire et qu'il convient alors de chercher ailleurs.
Chaque lunette a une distance focale, qui correspond à la distance entre l’objectif principal ou le miroir et l’image qu’il forme. La longueur focale est le grand nombre que vous pouvez lire imprimé ou gravé à l’avant ou l’arrière du téléscope, généralement entre 400 et 3000 millimètres, en fonction de l’ouverture et du type de l’appareil.
Les oculaires ont aussi des focales : 25mm ou 10mm, par exemple.
Le grossissement d'un téléscope est le rapport entre la longueur focale de son tube optique et la longueur focale de son oculaire.
Pour l'obtenir il faut donc simplement diviser la distance focale de la lunette par celle de l'oculaire. Par exemple, une lunette de focale 1000mm, utilisée avec un oculaire de 25mm, donne un grossissement de 1000/25 = 40 (ou 40x).
Au final, les 2 facteurs principaux limitant l'utilisation pratique d'un téléscope sont :
Alors, pourquoi opter pour un télescope de plus de 250mm d’ouverture si, de toute manière, les conditions du ciel vous limitent ?
Les grandes ouvertures sont le plus souvent choisies par les observateurs qui souhaitent rassembler le plus de lumière possible pour observer des choses sombres (nébuleuses, galaxies, amas d'étoiles).
Ces objets dits du "ciel profond" sont généralement vus à des grossissements bien inférieurs à ceux de la Lune ou des planètes, de façcon à ce que la qualité de l'observation soit moins dépendante des conditions atmosphériques. En outre, une plus grande ouverture entraîne généralement des temps d'exposition plus courts pour ceux qui s'intéressent à l'astrophotographie, en particulier lorsqu'ils sont combinés avec une courte distance focale.
Cependant, même dans le cas d'un budget illimité vous permettant d'acheter un téléscope de grande ouverture, la question de la portabilité de l'instrument se pose. En effet, grande ouverture implique fatalement que le téléscope est plus volumineux et plus lourd qu'un d'ouverture plus petite.
Si vous souhaitez vous déplacer sur des lieux d'observation différents, un compromis entre commodité et performance sera à trouver. Il ne faut pas oublier qu'un téléscope n'est utile que s'y l'on s'en sert… donc gare à ne pas succomber à l'achat d'un téléscope de trop grande ouverture si c'est pour le laisser au placard car il est trop peu pratique (lourd et encombrant) de s'en servir.
Pour vous aider dans votre choix, voici ci-dessous quelques exemples d’observations possibles en fonction du diamètre du tube optique du téléscope. Cela donne un point de départ pour comparer les téléscopes en fonction de vos besoins réels.
Niveau | Objets observés | Diamètre d’ouverture |
---|---|---|
Débutant | La Lune et de ses différents cratères Saturne ses anneaux Jupiter et ses gros satellites |
60mm |
Expérimenté | Détails du sol de la lune et des planètes Amas d’étoiles |
entre 60mm et 150 mm |
Professionnel | Nébuleuses et galaxies | 200mm et + |
Les grandes ouvertures permettent aux observateurs de repérer des objets pâles et des détails fins sur la Lune et les planètes, mais quelle que soit l’ouverture, plus les conditions d'observation et la visibilité sont bonne, plus on pourra voir de choses dans les ciel.
Étant donné que les conditions atmosphériques sont si importantes, les grands télescopes, même ceux de plus de 250mm d'ouverture, sont souvent limités à 250x ou 300x de grossissement les nuits les plus stables.
Tout observateur expérimenté vous dira qu'avec l'expérience, vous verrez capable de voir une image plus détaillée, non seulement parce que votre œil est mieux entraîné, mais aussi car plus vous passez de temps à observer le ciel, meilleures seront vos chances de capter quelques instants de visionnage atmosphérique exceptionnelement stables.
Un télescope a deux éléments essentiels: une optique de haute qualité et une monture stable à mouvements fluides. Toutes choses étant égales par ailleurs, les grandes ouvertures permettent d'observer plus d'objets et sont plus faciles à utiliser que les petites. Mais ne négligez pas la portabilité et la commodité: le meilleur téléscope pour vous est celui que vous utiliserez réellement.
Malgré les formes et tailles variées des téléscopes que vous pouvez trouver dans le commerce, les types de télescopes peuvent être divisés en trois sortes :
Coupe transversale d'une lunette astronomique moderne à tube court. La plupart des réfracteurs ont une longueur de tube comprise entre 8 et 12 fois leur ouverture, ce qui peut les rendre difficiles à manier. Cependant, les observateurs lunaires et planétaires préfèrent les images à contraste élevé fournies par ces instruments.
Un réfracteur est le stéréotype de l'apparence d'un télescope: un long tube brillant avec une grande lentille à l'avant et un oculaire à l'arrière. L'objectif avant (l' objectif ) focalise la lumière pour former une image à l'arrière. L'oculaire est une petite loupe avec laquelle vous regardez l'image.
Les réfracteurs de haute qualité sont souvent recherchés par les observateurs lunaires et planétaires qui attachent de la valeur à leurs images nettes et contrastées pouvant prendre un grossissement élevé. En fait, un réfracteur bien conçu peut fournir les images les plus fines pouvant être obtenues avec une ouverture donnée.
Un autre avantage du réfracteur est qu’il est généralement plus robuste que les autres types de lunettes, car ses lentilles risquent moins de se désaligner. Pour cette raison, les réfracteurs sont bien adaptés à ceux qui souhaitent avoir un instrument "pick up and go" ou qui n'ont aucune envie de bricoler avec l'optique.
Mais ces fonctionnalités intéressantes ont un prix. Une très grande lentille d'objectif est une œuvre d'art qui nécessite un verre spécial et une fabrication individuelle à la main. Pour cette raison, les réfracteurs sont les instruments les plus coûteux d’une ouverture donnée.
En outre, dans leurs formes les plus courantes, les longueurs des tubes réfracteurs peuvent être difficiles à manier. Un réfracteur de 4 pouces peut avoir une longueur de 4 pieds ou plus. Et comme l'oculaire se trouve à l' extrémité inférieure du tube, un trépied de grande taille est nécessaire si vous prévoyez d'observer des objets au-dessus de votre tête. Un tel trépied doit être construit de manière très solide pour éviter les vacillements à haute puissance. Il peut donc être lourd ou lourd, sans parler du prix élevé. Pour les observateurs du ciel profond, un réfracteur peut ne pas disposer de suffisamment de lumière pour regarder des objets pâles, et les champs de vision peuvent être étroits. La conception optique moderne a conduit à des réfracteurs plus courts, plus faciles à gérer, mais à un coût d'autant plus élevé.
Une coupe transversale d'un Newton typique, le télescope à réflexion le plus commun. Dollar pour dollar, un réflecteur est la meilleure solution que vous puissiez acheter. Un nettoyage et un réalignement occasionnels de l'optique peuvent réduire son attrait pour certains utilisateurs.
Le deuxième type de télescope, le réflecteur , utilise un miroir pour recueillir et focaliser la lumière. Sa forme la plus courante est le réflecteur newtonien (inventé par Isaac Newton), avec un miroir primaire concave spécialement incurvé (en forme de cuvette) à l'extrémité inférieure du télescope. Près du sommet, un petit miroir secondaire en diagonale dirige la lumière du tube principal vers le côté du tube, où il est rejoint par un oculaire placé de manière appropriée.
Si vous voulez plus d’ouverture pour votre argent, le réflecteur est la portée pour vous. Lorsqu'il est bien fabriqué et entretenu, un réflecteur peut fournir des images nettes et contrastées de toutes sortes d'objets célestes à une petite fraction du coût d'un réfracteur à ouverture égale.
Le tube d'un newtonien est également beaucoup plus facile à gérer. Sa longueur est rarement supérieure à huit fois le diamètre du miroir primaire et souvent inférieure. Cela signifie qu'un Newtonien de 8 pouces peut être logé dans un tube d'à peine plus de 4 pieds de long, s'insérant dans le siège arrière d'une petite voiture pour être transporté dans des cieux sombres et ruraux. Si vous combinez cela avec le centre de gravité généralement bas du newtonien bien en dessous de l'oculaire, vous obtenez un instrument monté sur un support compact et stable qui présente l'oculaire à une hauteur convenable, quelle que soit l'orientation du ciel.
Et il y a un autre avantage. Un réflecteur est, en gros, le seul type de télescope qui vous montre une image "à lecture correcte" plutôt qu'une image miroir. Ceci est particulièrement important lorsque vous essayez de comparer ce que vous voyez dans l'oculaire à ce qui est sur la carte des étoiles.
Une variante du télescope newtonien connu sous le nom de Dobson, est devenue extrêmement populaire grâce à son faible coût, à sa facilité d’utilisation et à sa portabilité.
Pour obtenir le meilleur rapport qualité-prix, un type particulier de réflecteur appelé Dobsonian doit être pris en compte . C'est un Newtonien sur une monture très simple et très robuste. Ces instruments extrêmement populaires sont disponibles dans des ouvertures allant de 4 pouces à plus de 30 pouces et représentent le nec plus ultra en matière de confort d'observateur pour une visualisation occasionnelle.
Comme tous les réflecteurs (il en existe d'autres, mais nous les ignorerons car ils sont rarement rencontrés chez les amateurs), un Newtonien nécessitera un entretien occasionnel. Contrairement aux objectifs solidement montés d'un réfracteur, les miroirs d'un réflecteur peuvent ne plus être alignés et nécessitent par conséquent une collimation (ajustement) périodique pour garantir des performances optimales, notamment si le télescope est déplacé fréquemment. Ce n'est pas grave une fois que vous avez compris, et les miroirs du Newtonien moyen peuvent ne pas nécessiter de peaufinage pendant des mois. Mais pour ceux qui n’ont pas une inclinaison mécanique, il peut être frustrant de devoir collimer un réflecteur newtonien même occasionnellement.
Le tube ouvert du réflecteur signifie que la poussière et la saleté sont plus susceptibles de s'accumuler sur les surfaces optiques, même si vous prenez soin de couvrir le tube pendant le stockage, ce qui entraînera un nettoyage occasionnel. En outre, il peut être nécessaire d'envoyer les surfaces aluminisées des miroirs d'un réflecteur tous les 10 ou 20 ans, plus souvent si vous vivez dans une zone urbaine fortement polluée par l'air ou au bord de la mer.
Coupe transversale d'un télescope de Schmidt-Cassegrain. À peu près à mi-chemin entre Newtoniens et réfracteurs, les catadioptriques sont à la fois compacts et faciles à mettre à niveau grâce à une large gamme d’accessoires. Cliquez sur l'image pour voir une variante populaire, le Maksutov-Cassegrain.
Vient ensuite le troisième type de télescope, le télescope catadioptrique ou composé . Celles-ci ont été inventées dans les années 1930 dans le but de marier les meilleures caractéristiques des réfracteurs et des réflecteurs: elles utilisent à la fois des lentilles et des miroirs pour former une image. Le plus grand attrait de ces instruments est que, dans leurs formes les plus courantes (Schmidt-Cassegrain et Maksutov-Cassegrain), ils sont très compacts. Leurs tubes ne sont que deux à trois fois plus longs que larges, un arrangement permis par "repliement optique" de la lumière. Le tube plus petit peut utiliser un montage plus léger et donc plus facile à gérer. Le résultat est que vous pouvez obtenir un télescope à grande ouverture et longue focale qui est très transportable.
Mais ici aussi, il y a des mises en garde. Comme le newtonien, le télescope Schmidt-Cassegrain nécessite une collimation optique occasionnelle qui diminue son attrait pour ceux qui sont peu enclins à bricoler. Leurs champs de vision peuvent aussi être assez étroits. En termes de coût, ouverture pour ouverture, la catadioptrique est située à mi-chemin entre le réflecteur et le réfracteur. Comme un newtonien, les formes populaires de télescopes composés ont un miroir secondaire dans le trajet de la lumière de l'instrument, ce qui dégrade légèrement les performances pour les observations critiques lunaires et planétaires. Même ainsi, lorsqu'ils seront bien fabriqués, un Schmidt-Cassegrain ou Maksutov délivrera de très fines images d'une grande variété d'objets célestes.
Comme pour les réfracteurs, les tubes de catadioptrique sont scellés, ce qui exclut en grande partie la saleté et la poussière - un avantage considérable pour un instrument que vous allez emporter dans le pays. Mais si vous vivez dans une région où la rosée est présente (presque partout), une sorte de collier ou d’extension empêchant la formation de buée sur la plaque de correction exposée à l’avant du tube est indispensable.
Dans la pratique, de nombreuses personnes recherchant une lunette très polyvalente et très portable (pour l’ouverture) pouvant être utilisée pour tous les sujets du ciel et pour l’astrophotographie auront tendance à opter pour une forme quelconque d’instrument composé. Les télescopes de ce type tendent également à être les plus «technologisés», avec de nombreuses options telles que le pointage informatisé et les adaptations photographiques. En bref, ce sont d'excellents oscilloscopes polyvalents pouvant utiliser une grande variété d'accessoires.
La monture est l'atout le plus souvent sous-estimé d'un télescope !
Votre télescope aura besoin de quelque chose de robuste pour le supporter. De nombreux télescopes sont emballés de manière pratique avec des trépieds ou des montures, bien que les tubes de certains plus petits oscilloscopes ne disposent souvent que d'un bloc de montage permettant de les fixer à un trépied photo standard avec une seule vis. (Attention: un trépied suffisamment bon pour prendre des photos de famille peut ne pas être assez stable pour l'astronomie.) Les supports spécialement conçus pour les télescopes renoncent généralement aux blocs de fixation à une vis au profit d'anneaux ou de plaques plus grands et plus robustes.
Sur certaines montures, la lunette bascule à gauche et à droite, de haut en bas, comme sur un trépied photo; il s’agit de montures altitude-azimut (ou simplement alt-az). De nombreux réflecteurs reposent sur une plate-forme simple et élégante, appelée Dobson, qui est une variante du mont alt-az.
Un mécanisme plus complexe, conçu pour suivre le mouvement des étoiles en tournant sur un seul axe, est appelé monture équatoriale. Celle-ci a tendance à être plus grande et plus lourde que les modèles alt-az. Pour utiliser correctement une monture équatoriale, vous devrez l'aligner sur l'étoile polaire.
Même si des variations existent, vous rencontrerez donc majoritairement ces 2 types de montures pour les téléscopes :
Un support alt-az fonctionne comme une tête pan/tilt de trépied, déplaçant la lunette de haut en bas (en altitude) et de gauche à droite (en azimut). Les montures équatoriales possèdent également deux axes, mais ils sont inclinés pour pouvoir être alignés avec l’axe de rotation de la Terre.
Si vous avez l'intention d'utiliser un petit télescope pour une observation occasionnelle du ciel ou une utilisation de jour (par exemple, l'observation d'oiseaux), le mont alt-az est préférable. Les montages bien conçus de ce type auront des commandes de ralenti finement filetées qui permettent de déplacer la lunette en douceur par petites quantités, ce qui est particulièrement important lorsque vous utilisez de grandes puissances. La valeur de tels raffinements ne sera que trop évidente lorsque vous suivez une étoile ou une planète à fort grossissement.
Les montures plus sophistiquées, y compris les montures alt-az modernes de haute technologie, sont équipées d'un entraînement par moteur électrique intégré, ce qui vous permet de vous concentrer sur l'observation.
Le Dobson est une forme de monture alt-az. Des matériaux peu coûteux tels que les panneaux de particules et le téflon figurent dans sa construction, ce qui permet un montage à faible coût et à centre de gravité bas qui (idéalement) glisse sans à-coups sur les deux axes avec le contrôle du bout des doigts. Un réflecteur newtonien monté de cette manière est non seulement extrêmement facile à configurer et intuitif à utiliser, mais aussi très économique.
La monture d'un dobsonien, est un exemple primordial d'un oscilloscope alt-azimut ou alt-az. Le tube monte et descend (en altitude) et de gauche à droite (en azimut). D'autres montages alt-az peuvent avoir des commandes de ralenti pour permettre un suivi facile à des puissances élevées.
Le meilleur télescope au monde est inutile s'il ne se trouve pas sur une monture solide, stable et qui fonctionne sans heurts, qui lui permet d'être dirigée vers la partie du ciel souhaitée et de suivre un objet céleste en douceur et avec précision, lorsque la Terre tourne en dessous. .
En termes réalistes, une monture "stable" est une monture qui, lorsque vous utilisez une puissance modérée à élevée, ne vibre pas pendant plus d'une seconde après le rap du tube. En particulier, la vue ne peut pas bouger si vous maintenez le bouton de mise au point enfoncé que vous ne pouvez pas voir lorsque vous avez trouvé la mise au point la plus nette. Et lorsque vous le lâchez, l'objectif ne doit pas sauter d'un côté. Ceci élimine complètement le télescope semi-jouet typique des "grands magasins".
Une monture équatoriale facilite le suivi d'objets célestes lorsque la Terre tourne. Une fois correctement configuré, il suffit de tourner la lunette de visée d’un axe pour suivre un objet dans le ciel - et un moteur de commande peut le faire automatiquement. Un équatorial est obligatoire pour la plupart des astrophotographies.
Pour un télescope destiné à l'astronomie, et pour lequel la photographie est une perspective d'avenir, il faudrait envisager une forme de monture équatoriale qui contrecarre automatiquement la rotation de la Terre. Il est beaucoup plus facile de suivre un objet céleste avec une lunette montée de cette façon, car vous ne devez vous préoccuper que de la faire pivoter d’un axe à l’autre, et non de deux simultanément, comme dans l’alt-az. Lorsqu'un montage équatorial est correctement configuré, il suffit de tourner la commande de ralenti de son axe polaire pour garder un objet en vue.
Pas vraiment, car chacun a ses points forts. Pour l'observateur occasionnel qui souhaite une lunette très portable pouvant être rapidement installée dans divers endroits, une alt-az est préférable, en particulier un dobsonien. Un axe équatorial, bien que pratiquement obligatoire pour la plupart des formes d’astrophotographie et des observations critiques de la Lune et des planètes à haute puissance, doit avoir son axe polaire aligné avec l’axe de rotation de la Terre. Bien que l'alignement polaire ne soit pas particulièrement difficile et devienne une routine avec la pratique, cela peut prendre un peu de temps au début de votre session d'observation si vous voulez le faire vraiment avec précision (nécessaire pour la photographie mais pas uniquement pour la recherche).
Certains télescopes sont équipés de petits moteurs pour les déplacer dans le ciel en appuyant simplement sur un bouton du clavier. Dans les modèles plus avancés de ce type, appelés télescopes "Go To", un petit ordinateur est intégré à la commande manuelle. Une fois que vous avez entré la date actuelle, l'heure et votre emplacement (et que de nombreux modèles plus récents n'exigent même pas que vous le fassiez), la portée peut se désigner et suivre des milliers d'objets célestes. Certains «Go To» vous permettent de choisir une visite guidée des meilleurs joyaux célestes, avec une lecture numérique décrivant les connaissances acquises sur chaque objet.
Mais les domaines GoTo ne conviennent pas à tout le monde - le processus de configuration peut être déroutant si vous ne savez pas comment trouver les étoiles d’alignement brillantes dans le ciel. Et les modèles GoTo moins chers ont des ouvertures plus petites que les oscilloscopes d'entrée de gamme à prix similaire qui ne possèdent pas d'électronique.
Les télescopes GoTo possèdent un ordinateur et une base de données intégrés pour simplifier la recherche d'objets, en théorie. L'inconvénient est que la plupart des conceptions requièrent une procédure d'alignement chaque fois que vous l'utilisez. Vous devez donc toujours connaître vos étoiles à l'œil nu.
Actuellement, les systèmes GoTo contrôlés par ordinateur apparaissent sur le marché sous différentes formes. Ces montures sont contrôlées par un ordinateur intégré ou à distance par un PC externe. Cela vous permet de diriger l'étendue vers n'importe quel objet de la base de données de l'ordinateur.
À première vue, ces unités "GoTo" sembleraient être la réponse au rêve d'un novice, puisqu'elles supposeraient apparemment le travail difficile nécessaire pour trouver des objets insaisissables tels que de faibles galaxies, des amas d'étoiles et des astéroïdes. Vous pourriez penser que vous n'ayez pas à apprendre le ciel.
Mais ce n'est pas tout à fait comme ça… Il est indéniable que, lorsqu'ils sont bien conçus, ces télescopes robotiques sont très amusants à utiliser, car ils balaient presque comme par magie dans le ciel à la recherche de tout ce que vous avez saisi, en se focalisant sur la cible pour la présenter dans l'oculaire . Mais cette technologie commence seulement à mûrir au point où ces portées s’orienteront automatiquement lorsque vous les sortez et les allumez.
Presque tous les systèmes GoTo vous demanderont de saisir l'emplacement géographique de votre site d'observation (ou de la ville la plus proche) ainsi que la date et l'heure au début de chaque session d'observation. Cela permet à l'ordinateur de bord de calculer la position de tout objet céleste que vous voudrez bien regarder. Souvent, vous devrez également niveler le tube du télescope, le diriger vers le nord (ou le sud dans l'hémisphère sud), puis vous lancer dans une procédure d'alignement utilisant deux étoiles brillantes (dont vous devez connaître le nom) pour synchroniser le système de coordonnées du télescope. avec celle du ciel.
Il est vrai que cette routine d'installation est facilement maîtrisée avec la pratique. Mais cela prend du temps. Et pour quelqu'un de complètement inconnu du ciel, la grande majorité du lot actuel de robotiques a le potentiel d'être très frustrant au début. Néanmoins, de l’aide est en route. La dernière génération de portées GoTo inclut leurs propres dispositifs de système de positionnement global (Global Positioning System) pour au moins vous dire (ainsi que le télescope) exactement où vous vous trouvez et à quelle heure il est, ce qui facilite un peu la configuration.
Ensuite, il y a la question de savoir avec quelle précision les pièces mécaniques dirigent réellement le télescope vers où l'électronique pense que cela pointe. Aux grossissements astronomiques, il n’ya pas de place ici pour des erreurs, même minimes, ce qui signifie une réduction des coûts dans la conception et la fabrication mécaniques. Un oscilloscope GoTo fabriqué à bon marché ne fonctionnera pas, peu importe l’élégance de l’électronique.
Une dernière chose à garder à l'esprit: l'argent dépensé pour le montage électronique d'un oscilloscope GoTo pourrait être investi dans un oscilloscope de plus grande ouverture monté de manière traditionnelle.
Une forme de chercheur à grande portée et à champ de vision large doit être montée sur votre télescope principal, pour vous aider à le diriger où vous le souhaitez. Recherchez les viseurs optiques (haut) dont les objectifs avant (objectifs) sont supérieurs à 25mm (1 pouce). Ou, si vous préférez, optez pour un viseur réflexe qui projette un point rouge ou une bulle sur le ciel. Un viseur réflexe vous limite aux cibles à l'œil nu sans grossissement, mais vous pouvez toujours passer de star à des cibles plus faibles.
Lorsqu'il est utilisé à une puissance moyenne à élevée, un télescope ne vous montre qu'un tout petit peu de ciel. Cela fait en sorte que pointer du doigt sur une cible est un processus frustrant, à moins que le périmètre ait un chercheur .
Comme son nom l'indique, un chercheur vous aide à localiser des objets célestes. Tous, sauf les plus petits, en ont besoin. Le plus commun est un télescope miniature fixé par un support près de l'oculaire de la lunette principale. Il a un faible grossissement et par conséquent un large champ de vision et est équipé d'un réticule comme un viseur. Une fois que vous l'alignez correctement avec la lunette principale, le centrage d'un objet sur le réticule le rend visible par le télescope principal.
Vous avez besoin d'un chercheur à grande distance et de grande qualité. Recherchez celui qui a une ouverture (objectif avant) plus grande qu'un pouce (25mm) et semble bien faite. Les détecteurs dingues, presque sans valeur, sont trop courants sur les télescopes bon marché.
Une alternative populaire est le viseur réflexe, qui projette un point ou un anneau de lumière sur le ciel en arrière-plan lorsque vous regardez de derrière. Beaucoup de gens préfèrent cette option simple et intuitive, mais vous êtes limité aux objets à l'œil nu, car ce type de viseur n'a pas de grossissement et n'a pas plus d'ouverture qui capte la lumière que l'élève de votre globe oculaire. Cependant, vous pouvez toujours passer de l'objectif à l'œil nu à l'objet du ciel profond en utilisant l'étendue principale à sa plus faible puissance, si vous disposez de cartes du ciel suffisamment détaillées.
Un télescope de qualité monté sur une monture équatoriale entraînée, une lunette de guidage et une caméra vous permettront de vous initier à l'astrophotographie.
Si vous achetez un téléscope, il est presque inévitable que vous souhaitiez l'utiliser pour capturer la beauté d'une image planétaire.
En principe, rien ne vous empêche de le faire, compte tenu de l'équipement, de l'inclination et du temps nécessaires. Mais il est sage de vous habituer à utiliser votre nouvelle lunette de visée de façon visuelle et à vous entraîner dans le ciel avant de vous lancer dans l'aventure astrophotographique.
La photographie des cieux peut être extrêmement enrichissante, mais c'est tout autant un art qu'une science. La courbe d'apprentissage peut être raide, l'équipement peut coûter cher et prendre le temps nécessaire peut prendre beaucoup de temps. Bien que tout télescope vous permette de photographier la Lune, il vous faut pour l’essentiel un viseur sur une monture très rigide, bien conçue et entraînée avec précision.
Qui que vous soyez et où que vous viviez, un télescope est fait pour vous. L’une des récompenses de l’astronomie amateur est le partage de l’univers avec d’autres par le biais de votre champ de vision - et vous n’êtes jamais trop jeune pour commencer!
Alors, y a-t-il un télescope parfait qui vous attend? En fait, c'est celui que vous utiliserez le plus souvent!
Un réfracteur optiquement superbe mais massif sera effectivement inutile si vous ne pouvez pas le porter à l'extérieur, et le plus grand dobsonien ne vous montrera pas les galaxies les plus faibles si le seul endroit où vous pouvez l'utiliser est un parking pollué par la lumière dans une ville.
Examinez attentivement ce que vous estimez être votre principal intérêt d’observation, les endroits où vous pourrez observer et ce qui est "portable" pour vous lorsque vous apprendrez à choisir un télescope. L'haltérophilie est une bonne chose pour vous, mais tout le monde ne l'apprécie pas.
Contactez votre club d'astronomie local , qui peut avoir des soirées d'observation pendant lesquelles vous pouvez essayer différents domaines et discuter avec leurs propriétaires. Ne sois pas timide. Votre club local ne se serait pas inscrit dans notre base de données s'il ne vous demandait pas d'appeler. Et envisagez de vous abonner à Sky & Telescope pour recevoir un avis d'observation de dose mensuelle.
Un télescope est un gros investissement pour la plupart des gens et l'univers ne va pas disparaître. Alors, prenez votre temps pour choisir votre télescope. Utilisez des jumelles pour vous familiariser avec l’utilisation des cartes en étoile et des guides afin de dénicher des merveilles faibles et difficiles. Cela développera exactement les connaissances et les compétences nécessaires pour bien utiliser un télescope. Lorsque vous achetez, vous aurez alors plus de chances de prendre une décision qui vous plaira vraiment, et vous posséderez une clé efficace pour débloquer toute une vie de merveilles cosmiques.